Une plume d’oiseau est tombée sur la route
Ecrasée par la roue d’un monstrueux poids lourd
Et dans le pré voisin un mouton frisé broute
Assez pour faire un tour sur le compte à rebours
Animaux dépouillés par les pluies déversées
Les cinglants alizés les foins secs qui engraissent
Vos peines savez-vous ne sont pas reversées
Au livre des méfaits qui toujours apparaissent
Si est vain pour l’humain le maintien de la vie
La brebis et le cerf n’envient pas les piverts
Qui n’ont en Italie pas de nids à Pavie
Au moment de ces vents qui glacent les hivers
La plume de l’oiseau vite affaibli le quitte
Pour finir re-tuée vaut mieux deux qu’une fois
Et sur le livre est-il écrit qu’un tel s’acquitte
De son inanité par un surcroît de foi ?
Ecrasée par la roue d’un monstrueux poids lourd
Et dans le pré voisin un mouton frisé broute
Assez pour faire un tour sur le compte à rebours
Animaux dépouillés par les pluies déversées
Les cinglants alizés les foins secs qui engraissent
Vos peines savez-vous ne sont pas reversées
Au livre des méfaits qui toujours apparaissent
Si est vain pour l’humain le maintien de la vie
La brebis et le cerf n’envient pas les piverts
Qui n’ont en Italie pas de nids à Pavie
Au moment de ces vents qui glacent les hivers
La plume de l’oiseau vite affaibli le quitte
Pour finir re-tuée vaut mieux deux qu’une fois
Et sur le livre est-il écrit qu’un tel s’acquitte
De son inanité par un surcroît de foi ?